
COMMUNIQUÉS DE PRESSE
11/03/2021
Disparition de Vanik Berberian, président de l'AMRF de 2008 à 2020
C'est avec beaucoup de peine et de tristesse que les membres de "La
petite école est une chance" ont appris la disparition de Vanik
Berberian.
Nous avons eu en effet à plusieurs reprises - y compris en
présentiel - l'occasion d'apprécier les convictions et les qualités
humaines de cet homme qui a beaucoup fait pour qu'on considère aussi
comme une chance les petites communes, leur diversité et même leur
"éparpillement", cet homme qui a beaucoup œuvré pour
donner des milieux ruraux une image positive en mettant en avant
leurs atouts et en revendiquant une justice territoriale tout en
évitant à la fois la posture anti‑ville simpliste et celle de
victime éternelle du monde urbain.
Nous espérons qu'il puisse longtemps encore
inspirer les acteurs du monde rural et des petites structures.
Nos pensées vont également vers sa famille et
ses proches à qui nous adressons nos plus sincères condoléances.
27/07/2019
Dans le cadre du festival La Belle Rouge de Saint Amant Roche Savine (63), s'est tenu le vendredi
26 juillet 2019, 15h/17h un atelier « La petite école est une chance,
pour les enfants et pour toute la société », formule reconduite le
lendemain. Compte-rendu disponible ici.
11/05/2019
La FNER devient officiellement "La petite école est une chance".
L'idée
est de réaffirmer notre
attachement à la petite école
et au petit collège
comme structures à taille « enfants », à taille humaine,
permettant un fonctionnement collectif de l'ensemble de la
communauté éducative, et
davantage compatibles avec une vraie transition écologique, tout en évitant d'opposer ville et ruralité, même si la majorité des
« petites écoles » sont en milieu rural.
Elle garde son statut de fédération
09/03/2019
La petite école : un problème, ou plutôt une chance ?
Dans la foulée des Assises de l'école rurale en Seine-Maritime, qui se
tenaient ce samedi 2 mars en matinée à Grainville-la-Teinturière (à
l'initiative de l'Association des maires ruraux de ce département), la
FNER*, Fédération Nationale pour l'École Rurale, y organisait dans
l'après-midi une réunion de réflexion et de travail, suivie de son
assemblée générale.
Des élus locaux, des enseignants, des parents, persuadés que la petite
école est une chance, et non un problème, ont évoqué l'avenir de ces
petites structures scolaires, et les moyens à mettre en œuvre pour le
faire savoir.
Prenant à contre-pied l'idée répétée en boucle par l'administration de
l'Éducation Nationale selon laquelle le regroupement d'école serait
nécessairement bénéfique pour les élèves, ils expliquent - études et
pratiques à l'appui - que les élèves des petites écoles y réussissent
plutôt mieux qu'ailleurs leur scolarité mais aussi leur socialisation,
que ces écoles génèrent moins de transport (pollution, fatigue, temps
perdu...), plutôt moins de dépenses, globalement, pour la collectivité,
mais davantage de lien social autour d'elles et de vie dans les
villages, d'où un meilleur maintien, un meilleur accueil des
populations.
Cette vision de l'école se heurte pourtant à deux types de difficultés :
L'attitude de l'Éducation Nationale qui, considérant les petites écoles
comme une réserve de postes d'enseignants, n'a de cesse de les dénigrer
plus ou moins ouvertement.
Une peur des classes multi-niveaux, de la part d'enseignants qui ne
sont pas formés pour, de parents et d'élus qui redoutent ces classes
sortant de l'ordinaire.
Et cependant, la demande d'écoles à taille humaine, à taille enfant,
semble gagner du terrain : ces petites écoles, au lieu d'apparaître
comme un vestige du passé, pourraient bien représenter une chance pour
l'avenir...
* Sur le web : ecole-rurale.marelle.org
15/01/2019
La FNER prolonge l'opération « MEILLEURS
VŒUX pour l’ÉCOLE ! »
Un soir de leur choix, en JANVIER 2019,
après la classe, les parents, les enseignants, élus, enfants,
citoyens... sont invités à ouvrir leur école, se réunir, prendre la
parole et/ou la plume, et exprimer leurs voeux pour leur école, pour
l'ÉCOLE, en 2019... et après, et à faire de ce moment un temps festif.
Plus de détails sur cette grande soirée nationale pour l'École à cette
adresse :
http://ecole-rurale.marelle.org/Meilleurs_voeux.pdf
27/12/2018
La FNER lance l'opération « MEILLEURS VŒUX pour l’ÉCOLE ! »
Le vendredi 11 JANVIER 2019, après la classe, les parents, les
enseignants, élus, enfants, citoyens... sont invités à ouvrir leur
école, se réunir, prendre la parole et/ou la plume, et exprimer leurs
voeux pour leur école, pour l'ÉCOLE, en 2019... et après, et à faire de
ce moment un temps festif.
Plus de détails sur cette grande soirée nationale pour l'École à cette
adresse :
http://ecole-rurale.marelle.org/Meilleurs_voeux.pdf
24/10/2015
LA PETITE ÉCOLE EST UNE CHANCE
Samedi 24 octobre, a eu lieu à Paris une rencontre sur l'avenir des
petites écoles.
Cette rencontre était précédée en matinée d'une intervention de Claire
Leconte, professeure et chercheuse en chronobiologie qui a dit tout le
bien qu'elle pensait des petites structures pour les enfants, ne
serait-ce qu'en matière de prévention...
Elle a réuni des participants venant d'horizons très divers,
enseignants, parents, élus, responsables ou militants associatifs
(FNER, AMRF, ACEPP, CREPSC, SNUipp, ICEM, CEMEA, SUD, collectif
"Prenons le temps pour nos enfants"), et personnes venues à titre
individuel.
Tous ont réaffirmé leur attachement aux petites structures scolaires
(une chance pour l'école et la société d'aujourd'hui et de demain), et
leur opposition aux politiques en cours et à venir - conventions
départementales entre autres -, dès lors qu'elles s'accompagnent de la
disparition massive des petites écoles.
Les participants ont décidé de ne pas agir seuls et se sont engagés
principalement :
- à renforcer le partenariat avec l'AMRF engagé
depuis de nombreuses années, en travaillant ensemble à l'organisation
d'une table ronde sur le sujet des petites écoles, avec le maximum
d'organisations et d'associations concernées, débouchant sur une
interpellation vigoureuse - lettres ouvertes, rendez-vous...- de TOUS
les responsables politiques impliqués : ministères Éducation Nationale,
Écologie (transports), Affaires sociales, Égalité des
Territoires/Ruralité..., députés , sénateurs, etc.
- à organiser dans un court délai un événement
médiatique autour d'une école emblématique,
- à étendre le réseau des initiatives portées par
les écoles : relocalisation de l'école et diminution des transports,
promotion du multi-âge et des interactions école/village ou quartier.
La petite école, un élément incontournable d'une écologie sociale à taille
humaine.
Paris, le 24 octobre 2015
19/10/2015
Le samedi 24 octobre à Paris se tiendra une rencontre sur l'avenir des
petites écoles, vouées à disparaître alors qu'elles sont aujourd'hui
performantes et qu'on y trouve de nombreuses pistes pour l'école (voire
la société) de demain.
À l'initiative de divers acteurs locaux et le soutien de la FNER
(Fédération Nationale pour l'École Rurale), de l'AMRF (maires ruraux),
de l'ACEPP (crèches parentales) et des CREPSC (Centres de REcherche sur
les Petites Structures et la Communication) ainsi que de personnalités
telles que Philippe Meirieu, cette rencontre a pour objet de s'opposer
aux regroupements massifs des écoles en s'appuyant sur les pratiques et
les initiatives déjà en place, et en proposant de les fédérer.
Elle sera précédée en matinée d'une conférence de Claire Leconte,
chronobiologiste, sur "Les temps de l'enfant en milieu rural".
Un "point presse" est prévu à 17h30 (café "Les Parigots", 5 rue du
Château d'Eau, Paris 10è), auquel vous êtes cordialement convié.
Cette rencontre est ouverte à tous.
Vous trouverez plus d'infos (inscriptions, lieu, horaires, programme,
argumentaire...) sur cette page :
http://ecole-rurale.marelle.org/Limoges-2015.html
05/04/2008
La FNER dénonce les réductions d'effectifs des
enseignants, les réductions des horaires d'enseignement, les "nouveaux"
programmes qui privilégient l'apprentissage d'automatismes au détriment
de la réflexion. Elle estime que ces choix sont désastreux à tous
points de vue, et qu'ils sont d'ailleurs en contradiction avec
l'objectif annoncé de diviser par trois en 5 ans le nombre d'enfants en
échec scolaire.
Elle appelle à s'associer à toutes les formes de résistance,
locales, régionales, nationales...
Elle propose de s'appuyer sur les réussites reconnues de
l'Ecole Rurale - dues à ses spécificités - pour pérenniser le service
public d'Education, et permettre son amélioration.
Limoges, le 5 avril 2008
21/06/2006
COMMUNIQUE de la FNER, sur la "convention de Massiac"
« La Fédération Nationale pour l'Ecole Rurale, avec d'autres, a prouvé
à maintes reprises que les petites structures scolaires sont
globalement aussi performantes, et parfois plus, que les autres : elles
sont souvent des lieux de réussite et d'originalité pédagogique, de
lien social renforcé notamment dans les petites communes ; elles ne
coûtent pas plus cher, toutes dépenses confondues (on peut d'ailleurs
mutualiser les dépenses sans regrouper les écoles).
Aussi, la FNER ne saurait-elle approuver, pas plus que les précédents,
les nouveaux projets de regroupement des écoles rurales défendus par le
Ministre de l'Education Nationale. Au contraire, là où les conditions
sont favorables, nous préconisons la constitution librement choisie de
réseaux d'écoles qui favorisent les échanges tout en limitant au
maximum les déplacements d'enfants. Et dans ce cadre, nous serions
favorables à une contractualisation sur plusieurs années, si plusieurs
cas de rupture de contrat par l'Etat lui-même, ne nous avaient pas
rendus très méfiants...
De même, nous avons du mal à croire en la "concertation" prévue, alors
qu'il y a deux ans, l'obligation d'une "étude d'impact" a été supprimée
!
L'avenir des écoles en milieu rural, c'est d'ailleurs le thème de nos
PROCHAINES RENCONTRES, à Marcq (Yvelines) les 30 et 31 octobre 2006 :
beaucoup de pistes seront empruntées, bien des tableaux seront brossés
; la concentration des écoles ne fera pas partie du paysage...
Vallières-les-Grandes, le 21
juin
2006
(Plus d'infos sur la FNER sur http://ecole-rurale.marelle.org) »
30/10/2004
La FNER (Fédération Nationale pour l'École Rurale) a depuis de
longue date soutenu voire préconisé la mise en place de réseaux
d'écoles en milieu rural. Un nombre important des élus, parents et
enseignants qui composent la FNER travaille déjà au sein de réseaux
d'écoles très divers par la taille, la structure, le fonctionnement,
les objectifs...). D'autres agissent au sein de RPI ou d'écoles non
regroupées...
Forts de cette connaissance du terrain, nous pouvons
dire que les propositions ministérielles ne nous conviennent guère :
elles apparaissent comme un plaidoyer pour des regroupements de type
administratif, bureaucratique, s'appuyant davantage sur des
affirmations souvent gratuites que sur une véritable démonstration.
Elles sont de plus totalement partiales, occultant à peu près tous les
atouts des petites structures non regroupées. Elles demeurent enfin
suffisamment imprécises pour que chacun puisse y trouver son compte,
par exemple en mélangeant subtilement RPI, regroupement, réseau...
Sous couvert d'une meilleure gestion financière, et
dans le but à demi avoué de rentabiliser le système, on tente une
nouvelle fois de faire disparaître les petites structures scolaires.
Inacceptable : l'éviction des les écoles de moins de 3 classes !
Inacceptable : des réseaux jusqu'à 30 classes !
Inacceptable, la façon dont commencent à se
pratiquer les regroupements, c'est-à-dire en-dehors de la concertation
annoncée, en essayant par exemple, de "coller" à tout prix à des
communautés de communes, et sans tenir compte des réseaux actuels...
Un vrai projet est celui qui est porté par
l'ensemble des acteurs, ce qui risque bien de ne pas être le cas dans
ce genre de structure "parachutée" par l'IA, même si, dans le détail,
cela dépendra de la réelle volonté et du degré d'investissement des
acteurs, de la taille du réseau, de sa structure aussi (regroupements
de RPI ou d'écoles ayant gardé leur structure pédagogique propre). On
voit bien où en sont arrivés trop de projets d'école, dont l'esprit a
été complètement dénaturé par leur caractère obligatoire, et qui ont
été transformés en une rédaction souvent factice, destinée à grappiller
quelques sous. Dans ces conditions, un projet de réseau qui se
substituerait aux projets d'école (c'est bien ce qui est clairement
affirmé : "un seul projet, celui du réseau d'école") risque de moins
correspondre encore aux besoins de chaque élève. Quant à "l'allègement
des tâches pour les directeurs", c'est du domaine de l'illusion,
puisque le travail "en moins" sera largement remplacé par les
concertations avec le coordonnateur, voire son secrétaire, et par les
réunions de réseau...
Nous préférons pour notre part les solutions - et
notamment les réseaux - imaginées et mises en place par les gens de
terrain, et correspondant réellement à des volontés et des besoins
locaux, plutôt qu'un énième dispositif supposé être valable partout.
Nous souhaiterions que les réseaux existants
bénéficient de l'aide de l'administration à tous les niveaux, et que
soient favorisés les rapprochements de personnes et de personnels
souhaitant travailler ensemble (enseignants, parents, élus...).
Nous demandons qu'en tout état de cause, les réseaux
mis en place demeurent "gérables" et à taille humaine, qu'ils en
respectent tous les acteurs, adultes et enfants, et que l'on cesse
enfin de voir dans les plus petites écoles des obstacles à la
rationalisation de la pédagogie et des dépenses d'enseignement, alors
qu'elles peuvent être - autant qu'ailleurs - des lieux de réussite dont
les formes, souvent originales, sont une richesse pédagogique et
sociale à cultiver.
07/03/2001
Communiqué de la FNER sur la carte scolaire primaire.
« La Fédération Nationale pour l'École Rurale
vient d'envoyer aux Inspecteurs d'Académie, la lettre
ouverte ci-jointe.
En effet, même s'il ne semble pas y avoir aggravation au niveau
national, nous constatons des situations inquiétantes, soit au niveau
de certaines académies (exemple : redéploiement au détriment des
départements les plus ruraux), soit au niveau de certains département,
ou tel inspecteur a décidé de "récupérer" des postes en zone rurale, en
opérant des regroupements forcés ; sans compter que se poursuit la
disparition progressive des classes uniques (certains IA ne
"supportant" pas des classes de 12 ou 15, fussent-elles uniques, à côté
de classes urbaines dépassant 25...). Ajoutons que dans beaucoup
d'écoles rurales où les effectifs augmentent, les petits de maternelle
sont davantage refusés, les demandes d'ouverture ne sont pas prises en
compte, et parfois même non formulées (forme d'autocensure). D'où une
dégradation des conditions...
C'est pourquoi nous avons rédigé une lettre ouverte
en direction de tous les Inspecteurs d'Académie (sauf Paris et la
proche couronne).
En effet, même si certains secteurs bénéficient de
mesures de carte scolaire plutôt favorables aux zones rurales, il n'en
demeure pas moins qu'à de rares exceptions près, il n'existe toujours
pas de politique scolaire à long terme en milieu rural :
- c'est trop souvent la
courte vue (carte scolaire annuelle) malgré les textes sur les Réseaux
Ruraux d'Éducation qui proposent entre autres des contractualisations
pluriannuelles ;
- c'est presque toujours
l'argumentation réduite à l'usage de la calculette (à tant, je ferme, à
tant, j'ouvre...) ;
- c'est de plus en plus
l'arbitraire d'un département à l'autre. »
Pour la FNER, Michel BARON
17/11/1997 - COMMUNIQUÉ de la FNDPER sur
les sorties scolaires.
S'il apparaissait
effectivement comme indispensable une mise à jour des textes
concernant les sorties scolaires et leurs conditions de déroulement,
la FNDPER conteste, dans les nouveaux textes (B.O. spécial sorties
scolaires), un certain nombre de points qui posent des problèmes
parfois insurmontables dans de nombreuses écoles, et qui de plus
reposent sur une conception des apprentissages et de l'école que
nous récusons (cf §6).
1/
D'une façon générale, il
n'est pas possible,
sous prétexte de simplification, de
traiter de la même manière des situations totalement différentes
(prendre le RER et prendre le chemin qui mène au stade, ne
présentent pas les mêmes risques ! Se déplacer avec tel
groupe ou tel autre non plus...).
2/
Les qualifications
requises concernant les accompagnateurs, si elles peuvent sembler
légitimes, apparaissent comme un luxe hors de portée d'une grande
partie des écoles (puisqu'elles restent sans financement de l'État).
Les
taux
d'encadrement
doivent aussi être revus avec plus de souplesse, en fonction des
véritables conditions locales ; par ailleurs, les surveillants
bénévoles ne sont pas toujours disponibles...
3/
Les enseignants ne peuvent se transformer en experts de la sécurité
routière : on devrait envisager un
agrément préfectoral et/ou académique,
stipulant que telle compagnie de transports par cars offre des
conditions suffisantes pour le transport des enfants. Sous peine
d'isoler nombre d'écoles rurales, cet agrément devrait pouvoir
inclure les transporteurs communaux, districaux... De même, les
dispositions spéciales, concernant le transport en voitures
particulières, déjà très contraignantes dans les textes
antérieurs, devraient pouvoir être maintenues.
4/
En application de ces textes, de
très graves dysfonctionnements nous sont signalés dans de
nombreuses écoles :
difficile, voire impossible de se rendre au stade, à la piscine, à
la bibliothèque, au gymnase, ou dans un bâtiment non contigu,
etc..., sans parler des sorties avec nuitée(s).
5/
Des
dispositions paraissent abusivement sécuritaires
(prévenir 3 jours avant pour faire un tour dans le quartier ou le
village) et, loin de favoriser les sorties, sont en fait fortement
dissuasives.
6/
Enfin, il est à nos yeux nécessaire de réaffirmer que l'école,
si elle est le lieu privilégié d'un certain nombre d'apprentissages
(et les règles de sécurité en font partie), doit
aussi être
un lieu d'éducation où l'exercice des responsabilités est réel
et où par exemple, un groupe d'élèves doit pouvoir travailler
seul, voire sortir seul, sous certaines conditions et dans le cadre
d'une organisation coopérative des activités, comme cela se fait
couramment et depuis longtemps dans bien des classes à
fonctionnement coopératif (et ce notamment au sein de petites
structures scolaires). Les textes officiels autorisaient ces
pratiques jusqu'à présent. Dans cet esprit, il nous paraît
important qu'on permette autant que possible aux acteurs et
partenaires d'une école de décider
en fonction des risques propres à leur situation de terrain
- nature du groupe, lieux d'action, choix des
accompagnateurs... -.
La FNDPER souhaite être
associée aux discussions concernant ce dossier.